Ceci n'est pas une carte postale de Christian Ramade
format 13 x 19 - 104 pages
Prix : 13,00 €
"Poteaugraphies", "Villes invisibles" et "Faux-semblants", un parcours photographique tout en couleurs.
La photographie est certainement le moyen d’expression qui entretient les rapports les plus étroits et les plus ambigus avec le réel. Combien d'images nous imprègnent et finissent par nous donner une vision faussée du monde.
Prenant le contre-pied des images idylliques et stéréotypées que véhiculent bien souvent les cartes postales, Christian Ramade a choisi pour ses séries de paysages un nouveau parcours visuel.
Il ne nous épargne aucune pancarte, aucun fil aérien, ni aucun poteau électrique, toutes ces lignes qui encombrent nos espaces urbains, périurbains et ruraux. Mieux, il les utilise et compose ses « poteaugraphies » avec jubilation.
Recherchant avec malice un angle de vue inhabituel, il nous embarque à revisiter les paysages à travers une clôture ou les pieds d'un banc, réfléchis par un miroir ou par l'eau d'un lac, entrevus au pied d'une table d'orientation..
Et lorsque des morceaux de villes deviennent invisibles parce qu'on les cache derrière des peintures murales de paysages rêvés, le photographe les confronte au réel et se joue de ces faux semblants qui tentent désespérément de recomposer en abyme... une image de carte postale.
www.photo-christian-ramade.com
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© Christian Ramade
V É L O de Jean-Benoît Zimmermann
format 13 x 19 - 108 pages
136 photographies en noir et blanc et en couleurs, introduction de l'auteur et 8 textes de photographe, sociologue, écrivains, philosophes, sportifs, militants ou simples usagers
Prix : 13,00 €
« Dans Paris à vélo, on dépasse les autos, à vélo dans Paris, on dépasse les taxis », chantait Joe Dassin en 1972. Cette même année, la première « manif à vélo » eut lieu à Paris le 22 Avril avec le slogan « le pétrole on s'en fout, l'énergie c'est nous ».
Pourtant à cette époque, dans beaucoup de grandes villes, rouler à vélo relevait parfois de l’exploit. Seules, Strasbourg, Amsterdam et quelques autres s’étaient depuis longtemps converties, tout comme de nombreux bourgs ouvriers ou ruraux, à l'usage du vélo en tant que moyen de transport quotidien.
Aujourd’hui, alors que la pratique de la bicyclette se généralise, les vélos présentés dans ce livre deviennent des personnages en eux-mêmes, s’émancipent des humains qui les utilisent, en prennent soin ou parfois les maltraitent. Fiers, drôles ou émouvants, ils racontent leurs mille et une manières, à travers le monde, de trouver leur place, dans nos vies quotidiennes
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Photos sous le régime de la Licence Creative Commons Attribution - Pas d'Utilisation Commerciale - Pas de Modification 4.0 International.
Pigments d'Afrique de Bernard Magneville
est le deuxième ouvrage publié par Photo#graphie
Format 19 x 13 cm - 100 pages
108 photos couleurs
accompagnées de courts textes de Andy Ammirati
13 €
Robert Capa disait : « Si ta photographie n’est pas bonne, c’est que tu n’étais pas assez près ».
Bernard Magneville y croit. Alors, depuis plus de quarante ans, il s’approche et attend pour que vienne à son objectif le claquant des couleurs de la robe qui passe, le muscle bandé sous la peau du corps sombre ou l’instant arrêté d’un soleil éphémère.
Dans les compositions de lignes et de courbes dessinées par l’homme ou le hasard, il fige l’équilibre pour que le temps arrête son jeu.
Images réalisées essentiellement au Sénégal, à Saint-Louis et ailleurs, mais aussi au Mali, en Mauritanie, à Zanzibar et au Maroc.
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Des Gens de Jean-Benoît Zimmermann
est le premier ouvrage publié par Photo#graphie
Format 19 x 13 cm - 118 pages
82 photos, N&B et couleurs
13 €
Après des études scientifiques et un passage par le cinéma militant, Jean-Benoît Zimmermann a mené et continue de développer un parcours d'exploration photographique, parallèlement à sa carrière de chercheur.
C'est donc, de part et d'autre, une démarche de recherche qui l'a conduit à poser son regard sur le monde, personnages, lieux ou objets, non pas de manière extérieure, ni en l'attente d'un improbable événement inattendu, mais dans une véritable rencontre entre lui-même et son sujet.
Il nous livre ici quelques extraits d'un des grands chapitres de son travail photographique, celui consacré aux personnages eux-mêmes, sur lesquels il porte un regard « curieux et avide de comprendre comment ces autres que moi-même sont autant d'individualités, pleines de leurs propres désirs, aspirations, craintes, angoisses, projets … pleines de leur propre vie et parcours uniques et indivisibles ».
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